Les Ecoles de Saint Broingt.

- L’Ecole des filles.

C’est en 1850, que le Comte de Pommeroy fonde l’école des filles, dans l’ancienne cure, habitée par les Soeurs de la Providence de Langres.

A la mort du Comte, le 1er avril 1860, par acte de donation du 26 mai 1860 passé devant maître Grandet notaire à Esnoms, la veuve du Comte lègue et donne à la commune l’ancienne cure dans laquelle est l’école des filles. La veuve exige que la commune loge gratuitement et à perpétuité les religieuses, dont la mission sera de diriger l’école et de soigner les malades. Le 25 novembre, devant le bon état de la maison, la commune accepte la donation.

Les religieuses dirigeant l’école recevaient du Comte une somme annuelle de 400f, plus la rétribution scolaire payée par les parents des élèves: 150f, plus une subvention communale de 50f. Total : 600f.

A la mort du Comte, son testament porte la mention suivante: "Pendant sa vie, ma chère femme sera tenue à payer une rente de 400f aux soeurs de la Providence de Saint Broingt - les- Fosses. Après elle, les héritiers seront tenus à payer un capital à la commune pour produire un intérêt de 300f formant la moitié de la fondation que nous faisons, ma femme et moi et qui doit, suivant le règlement de la maison mère, être de 600f "

Au décès de la femme du Comte, en 1871, la rente annuelle et perpétuelle de 300f est acceptée par la commune, ou, si les héritiers le désirent, le capital de 7000f nécessaire au service de la dite rente.

Le 4 août 1888, le conseil municipal se réunit pour délibérer sur la classification à donner à l’école des filles de St Broingt, conformément à la circulaire du préfet du 28 juin 1888.

Texte de la délibération:  " Considèrant que la commune n’a que 390 habitants, que d’après les circulaires ministérielles du 27 mai 1888, l’école des filles doit être classée dans la catégorie des écoles purement facultatives, considérant que la dite école est entretenue au moyen d’une donation aux conditions express qu’elle soit dirigée par des institutrices congrégacistes, considèrant enfin que la population entière est formellement opposée à la réunion des deux sexes, le conseil est unanimement d’avis de demander expressivement le maintien de l’école de filles et qu’elle soit classée dans les écoles de filles pûrement facultatives. "

En 1891, le conseil, après avoir pris connaissance des instructions insérées au recueil des actes administratifs de 1889, considérant que la commune de St Broingt (390 habitants) a une école de filles purement facultative, considérant que la donation du Comte Potier de Pommeroy est faite pour fonder une école dirigée exclusivement par les soeurs de la Providence de Langres, est d’avis qu’a l’avenir, les revenus de la fondation continuent comme par le passé à recevoir leur destination régulière et à servir au traitement des soeurs institutrices.

Les élèves (garçons) de l'école en 1896

1901. Contexte historique.

Après avoir mis provisoirement un terme aux remous de l’affaire Dreyfus, poursuivi les ligues nationalistes, épuré l’armée, amélioré la législation sociale, Waldeck - Rousseau avait satisfait en partie les revendications de la gauche. Pour mobiliser encore plus les énergies de cette dernière, il trouva un thème: l’anticléricalisme. Dans un discours énergique prononcé à Toulouse le 28 octobre, il s’en prit aux congrégations qu’il estimait " nuisibles à l’Etat ". Après leur avoir reproché leur intrusion dans la politique, il dénonça la fortune acquise par ces congrégations, qui, d’après une note officielle atteignait le milliard. Mais, le principal argument de Waldeck - Rousseau portait sur l’influence des religieux sur la jeunesse qu’ils éduquaient :

" Dans ce pays dont l’unité morale a fait la force, deux jeunesses, moins séparées encore par leur condition sociale que par leur éducation, grandissent sans se connaître, jusqu’au jour où elles se rencontrent si dissemblables qu’elles risquent de ne plus se comprendre "

Loi du 1er juillet 1901 : Les associations civiles jouissent d’une entière liberté, mais un régime d’exception est prévu pour les associations religieuses ou congrégations, qui ne peuvent exister que sur une autorisation donnée par une loi, et les nouveaux établissements doivent être autorisés par décret.

1902 - 1905 : La séparation de l’Eglise et de l’Etat.

Après la démission de Waldeck - Rousseau pour des raisons de santé, Loubet choisit pour lui succéder, le sénateur radical de Charente - Inférieure : Emile Combes. Le ministère Combes dura trois ans. Au mois de juin 1902, un décret ordonne la fermeture des écoles congrégationnistes, ouvertes depuis la loi de 1901. 125 écoles furent les victimes de ce décret. Quelques jours plus tard, le ministère envoyait l’ordre aux préfets de procéder à la fermeture de toutes les écoles ouvertes avant cette date. Il y en eut près de 3000. Une succession d’ incidents opposèrent le gouvernement français au Vatican, et conduisirent Combes à déposer en novembre 1904 un projet de séparation de l’Eglise et de l’Etat. Cependant, cette loi qui allait en quelque sorte constituer le sommet de la série de mesures anticléricales adoptées depuis 1902 ne fut pas réalisée par le ministère du  " petit père Combe ", car celui - ci se vit contraint de démissionner en 1905. Le ministère qui lui succéda, fut confié par Loubet à Maurice Rouvier . Ce dernier mit la question de l’Eglise à son programme, et le ministre de l’Instruction publique, Bienvenu Martin présenta le projet à la chambre en février. Une commission, présidée par Ferdinand Buisson, fut constituée pour l’étudier. Dès le mois de mars, la discussion s’ouvrait à la Chambre et le rapporteur de la commission, le socialiste Aristide Briand, s’imposa très vite. Voté par la chambre le 3 juillet, le projet fut adopté par les sénateurs au mois de novembre et, le 9 décembre, la loi de séparation des Eglises et de l’Etat fut promulguée. Affirmant la liberté de conscience, la République garantissait le libre exercice des cultes, mais n’en reconnaissait, n’en salariait, n’en subventionnait aucun.

A Saint Broingt - les Fosses, en 1901, le Président donne lecture au conseil, d’une lettre du Sous - Préfet, l’informant que la Congrégation des soeurs de la Providence de Langres a formulé une demande en vue d’obtenir l’autorisation prévue par la loi du 1er juillet 1901, pour l’établissement qu’elles possèdent à St Broingt, et demande au Conseil de donner son avis.

Considérant que l’établissement des soeurs est très avantageux pour la commune, pour l’enseignement des jeunes filles, et permet, en outre, d’avoir une religieuse affectée au service des malades, considérant que les religieuses, tant dans l’enseignement que pour les soins aux malades, se renferment dans leur mission qu’elles remplissent à la satisfaction de tous, et avec un zèle louable et une conduite irréprochable, le Conseil émet un avis favorable à la demande d’autorisation formulée par la congrégation.

Le 20 juillet 1902, le Président invite la Municipalité de St Broingt à se prononcer pour la suppression de l’école de filles actuelle, ou son maintien avec un personnel laïc.

Considérant qu’en raison de sa population de 324 habitants, la commune n’a pas droit à une école de filles obligatoire.

Considèrant que la transformation de l’école de garçons en école mixte est la seule solution qui permette l’application de la loi du 30 mars 1902.

Demande que la dite école de garçons soit déclarée mixte, et, afin de laisser aux pères de famille la toute liberté sous le rapport de l’enseignement, décide que l’école de filles existante sera maintenue à titre d’école libre, et le traitement du personnel de la congrégation assuré au moyen des revenus de la fondation faite à cet effet. Cette décision entraîne la disparition de l’Ecole de filles de Saint Broingt les Fosses.

Les archives révèlent, pour les institutrices, les noms suivants: 1866: Demoiselle Huin Marie  (Soeur Didier ou Bernardine?), 1872: Catherine Balland (Soeur Evariste), 1878: Clarisse Thomas (Soeur Frumence?), 1885: Marguerite Geoffroy (Soeur Julienne).

Le 1er novembre 1902, le Président expose au conseil qu’il y a lieu de prendre une décision concernant le maintien de la soeur infirmière, et le traitement qu’il convient de lui allouer sur les revenus de la dotation affectée à l’entretien de l’école de filles actuellement supprimée.

Le conseil considérant que le maintien de la soeur infirmière est désiré par les habitants de la commune qui apprécient beaucoup ses services, que par suite, il y a lieu de lui allouer un traitement lui permettant de vivre dans l’immeuble occupé par l’institutrice et par elle, que la suppression de l’école de filles rend disponible la rente de 600f, décide :

1) Que la soeur infirmière sera maintenue et logée dans l’immeuble communal destiné à l’école des filles.

2) Qu’il lui sera alloué annuellement sur les revenus de la donation de 600f faite en faveur de l’école de filles une somme de 400f par an à partir du 1er octobre 1902.

Le 18 décembre 1902, le Président donne lecture d’une lettre de Monsieur le Préfet invitant le Conseil à donner son avis relativement à la demande d’autorisation formée par les soeurs de la Providence de Langres pour fonder un nouvel établissement à Saint Broingt - les Fosses consistant en une garderie d’enfants en bas âge. Le dit établissement fonctionnerait avec les 400 f votés par le conseil le 1er octobre. Le conseil considérant qu’une garderie serait utile dans la commune, et qu’il ne résulterait pour elle aucune charge, émet un avis favorable.

Réaction des héritiers du Comte Potier de Pommeroy.

Lettre écrite par la Marquise de St Légier.

Cognac 15 Mars 1904, 19 Rue de Cagouillet.

Monsieur le Maire

Par testament en date du 5 Mars 1857, mon oncle M. Auguste Ignace Gabriel, Comte Potier de Pommeroy a légué à la commune que vous administrez, un capital suffisant pour produire un intérêt de 300 fs destiné à une fondation en faveur des soeurs de la Providence dont la mission était de diriger l’école des jeunes filles de la commune et de soigner les malades. Par acte en date du 14 Novembre 1867 son héritier M. Henry Léopold Comte Potier de Pommeroy mon pére, a donné son consentement à l’exécution de ce legs.

Par acte en date du 31 Janvier 1882 mon......fait à la même commune donation entre vifs d’une maison sise à Saints Broingt - les Fossés (et de ses dépendances) qu’il possèdait en co proprièté avec sa belle soeur Mme de Pommeroy à charge expresse d’y loger les dites soeurs de la Providence.

J’apprends aujourd’hui que les soeurs de la Providence ont été expulsées de la commune de St Broingt - les Fossés et que les volontés des donateurs n’ont pas été par celà même respectées. Dans ces conditions, j’estime comme héritière de M de Pommeroy que leurs legs et donation sont révoqués et je vous en demande la restitution. Ma soeur Madame Ardouin et moi sommes seules héritières représentant la succession du Comte Auguste Ignace Gabriel Potier de Pommeroy notre seul frère Pierre Auguste de Pommeroy étant décédé en 1876 sans postérité.

J’espère que vous reconnaitrez la justesse de ma réclamation et que vous ne m’obligerez pas de faire valoir mes droits par les voies judiciaires.

Veuillez agréer Monsieur le Maire, l’expression de ma considèration.

Le 12 octobre, le Président donne lecture au Conseil de cette lettre. Le Conseil demande l’autorisation, au nom de la commune, de plaider, et charge Monsieur le Maire de représenter la commune et de choisir un avocat et un avoué.

Le 28 avril 1905, le Conseil considèrant que la demande des héritiers de M Potier de Pommeroy est fondée, décide d’offrir aux héritiers :

1) La maison sise à St Broingt où était installée l’école, dans l’état où elle se trouve, sans que les héritiers puissent prétendre contraindre la commune à des réparations.

2) Les titres qui servaient à assurer le paiement des soeurs.

3) Les arrérages de la dite rente à compter du jour de la fermeture de l’école, soit le 1er octobre 1902.

4) Les intérêts des dites sommes à compter du 11 octobre 1904 jour de la demande en justice.

5) La somme de 200f pour ce qui concerne les arrérages que les héritiers prétendent n’avoir pas été employés en totalité suivant leur affectation.

- L’Ecole de garçons.

Avant 1782, à Saint Broingt - les Fosses, on se contentait comme maison d’école, d’un local qui était loué par l’instituteur, local qui se composait le plus souvent d’une seule chambre. Quelquefois ce local était une cuisine qui conservait encore cette première destination, et c’était toujours une pièce beaucoup trop petite et souvent peu éclairée.

Vers 1782, la commune fait l’acquisition de la première école qui était située à l’emplacement de l’actuelle.

En 1838, le Conseil se réunit pour examiner deux projets: La réparation de la maison d’école, ou sa reconstruction.

Le Conseil n’est pas d’avis d’adopter le premier projet, en effet, les réparations entraîneraient une dépense considérable pour arriver à un résultat médiocre. La salle de classe et le logement de l’instituteur sont au premier étage, et il en résulte une grande incommodité pour les enfants.

Le projet de reconstruction semble satisfaire le conseil, mais le devis se monte à plus de 5000f, pour une maison sans luxe, mais en harmonie avec les besoins liés à l’avenir. La commune ne peut disposer que de 1500f. Il faudrait donc demander un secours de 3 à 4000f.

En juillet 1838, un nouveau devis se monte à 4500,92f. La commune peut fournir 1819f. Le Conseil propose de vendre un affouage qui produira 1500f. Il faudrait donc encore 1189,92f.

En 1839, le Conseil pense vendre la vieille maison d’école, et d’employer l’argent de cette vente à la reconstruction d’une maison nouvelle. Ce projet est abandonné par la suite.

En 1845, la vieille maison est démolie, et le Conseil décide de vendre les vieux matériaux ne pouvant servir à la reconstruction de l’autre bâtiment. La vente du mobilier scolaire est également décidée, celui - ci étant inutile dans les nouveaux locaux. Le Conseil décide de faire fabriquer un nouveau mobilier à François Tartarin, menuisier à St Broingt: 10 grandes tables de 3m, pour 258f.

En 1842, l’école actuelle est construite sur l’emplacement de l’ancienne. Le produit de la vente de ce qui est récupérable donne : Une croisée de l’ancienne maison à Nicolas Finot - Durost, 3,75f; une croisée à Séjournant Journée, 1,50f; trois croisées à Bénigne Petit 2,30f, une armoire à Jean Baptiste Febvre 10f. Aces sommes récoltées, il faut ajouter un secours versé par le département de 500f. Coût de la construction : 4509f

En 1851, le Conseil examine un devis estimatif de dépenses qu’il aurait à faire pour la construction d’une chambre à four pour l’instituteur, et de latrines pour servir aux enfants fréquentant l’école de garçons.

Dans sa délibération du 10 juin 1877, le Conseil constate que la maison d’école n’a pas été habitée depuis 11ans à cause de l’insuffisance des locaux, du mauvais état du logement, de son exiguïté. Faute de place, l’instituteur est obligé de coucher dans son grenier. Le Conseil met en adjudication les travaux à effectuer.

Le 18 mai 1879, le Conseil considère que le mode actuel de chauffage de l’école présente de gros inconvénients pour les familles et pour la classe. Il décide de remplacer par une taxe suffisante par élève, l’apport journalier du bois nécessaire pour le chauffage. Il établit une taxe de 1f par élève, sauf pour ceux qui sont " gratuits ", et pour lesquels la commune fournira le chauffage.

En 1881, le Conseil vote la somme de 240f pour l’achat de 12 tables à 2 places

En 1883, une caisse des écoles est créée, le Conseil vote pour sa création, une somme de 40f.

En 1899, le Conseil municipal vote la somme de 30f pour l’achat de livres destinés à la bibliothèque scolaire.

1925: Le Conseil décide de faire effectuer le branchement dans le bâtiment en vue de l’installation de l’électricité.

1929 : La rupture d’une panne fait craindre un effondrement de la vieille toiture en laves de la maison commune. Monsieur Gérouville est chargé de faire les travaux: Réfection de la toiture et diverses réparations intérieures : 6446,32f. (Aspect de la maison avant les travaux)

Liste des Instituteurs arrêtée en 1945:

1657 : Denuy Bossu, recteur d’escolles qui assiste comme témoin au mariage de Joachim Floriot le 27 novembre 1657.

1659 : Noël Priduë, Maistre - chirurgien et recteur d’escolles, meurt d’une pleurésie, trois jours après sa femme Wihelmine Boudot, le 31 décembre 1659..

1662 : Noël Prieur, recteur d’escholles. A un fils qui est parrain de Léonard Pernot le 12 février; la marraine est Benigne Caroillon.

1667 : Benigne Andriot, recteur d’escholles, est parrain le 4ème de novembre de Catherine Boussard; la marraine est damoiselle Catherine Boussard, tante de l’enfant.

1668 : Nicolas Mogin ou Mongin, recteur d’escholles signe comme témoin au mariage de Jehan Villemot, le 7ème de febvrier.

1684 : Claude André, maistre d’escholles, assiste au convoy de Barnabé Chapuy à St Broingt.

1685 : Denys Fauconnet, recteur d’escholles est parrain de Julie Ladmiral; la marraine est noble damoiselle Nicolle Petit.

1688 : Clément Morelot, recteur d’escholles.

1690 : Perrier Jean, recteur d’escholles.

1695 : Houillon François, recteur d’escholles.

1695 : Fauconnier David, recteur d’escholles.

1705 : Guenon Anthoine recteur d’escholles.

1707 : Morlot Clément, recteur d’escholles.

1727 : Aubry Renaud, recteur d’escholles.

1734 : Jacob François : recteur d’escholles.

1743 : Gilbert Bénigne " loué " le Vème jour de novembre de l’année 1743 par le seigneur, le curé et les notables de St Broingt.

1748 : Cothenet Jean - Baptiste, recteur d’escholles, mort le 5 février 1749, âgé de 23 ans.

1749 : Depetasse Etienne, recteur d’escholles.

1751 : Legendre (N....), recteur d’escholles.

1752 : Doudey Claude, recteur d’escholles.

1754 : Thyrion Anthoine, recteur d’escholles.

1755 : Petit Didier, recteur d’escholles.

1756 : Henry Nicolas, recteur d’escholles.

1778 : Mauffré Jean recteur d’escholles.

1781 : Courty Nicolas recteur d’escholles.

1793 : Finot Jean, instituteur intérimaire.

1793 : Dumoulin Jean, instituteur.

1795 : Nouvelier François instituteur.

1797 : Gilbert Bénigne,instituteur.

1825 : Charles Nicolas, instituteur.

1833 : Mocquard Nicolas.

1838 : Courty Louis, instituteur.

1876 : Courty Jean - Baptiste, instituteur.

1889 à 1919 : Barbier, né le 8/11/1861 à Neuvelle - les Voisey, décédé le 27/01/ 1919

19.01.1919 à 28.04.1919 : Madame Faitout.

28.4.1919 à 06.1919 : Madame Roudet.

12.08.1919 à 21.08.1924 : Barbier Georges, né à St Broingt le 16.10.1893.

21.08.1924 à 03.04.1925 : Audugé Ernest.

29.04.1925 : Poivre Albert.

02.08.1926 à 11.1927 : Agron René.

03.11.1927 à 17.11.1933 : Mlle Suzanne Guenot.

15.11.1933 à 17.09.1934 : Mlle Leclerc.

01.10.1934 à 15.10.1934 : Jacquet.

15.10.1934 à 14.07.1939 : Rigollot André (mobilisé).

01.10.1939 à 27.09.1940 : Mlle Cressot.

09.1940 à 04.1945 : Rigollot André.

09.04.1945 à 14.07.1945 : Grépin Jean.

10.1945: Rigollot André.


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